Gorgonli

Gorgonli est le Seigneurs des monstres. Il est le frère de Dorlund, et était humain dans l’empire de Chine. Il était un soldat dans l’armée impériale et était sur le point d’obtenir une importante promotion pour un grade supérieur. Malheureusement, la mort de ses parents lui fit tout perdre. L’armée impériale ne lui versait pas suffisamment de rente pour qu’il puisse s’occuper de son frère et de sa sœur. Il dû par conséquent quitter l’armée, et reprendre l’exploitation familiale. Il en garda une colère et une rancœur féroce envers ses parents décédés. Lorsqu’une épidémie frappa son village, il fut soulagé que sa jeune sœur parte en premier. Elle lui coûtait cher en entretien, et était, selon lui, une bouche de trop à nourrir. Son jeune frère fut également trop faible pour résister à l’épidémie. Il tomba gravement malade, et malgré ses réticences, Gorgonli fit de son mieux pour lui trouver des médicaments. Néanmoins, un soir, à son retour du marché, il trouva le lit de son frère vide et ensanglanté. Il en déduisit que des chiens errants avaient dû avoir raison de lui, et il sentit enfin un poids disparaître de ses épaules.
Gorgonli réussit à survivre à l’épidémie qui avait frappé son village, mais il fut néanmoins fortement affaibli par la maladie. Il fit en sorte d’être réengagé dans l’armée en tant qu’aide de camps. Il réussi à se distinguer de nouveau à travers quelques exploits de champs de bataille et commença à prendre plaisir à tuer. Il commença même à tuer quelque uns de ses alliés en secret. Très vite, le sang fut tout ce qui lui important. Menrir finit par le remarquer, et vint le trouver après une bataille. Il lui proposa de lui donner tout le sang qu’il voudrait, et la liberté de tuer tous les êtres humains qu’il souhaiterait. Gorgonli accepta, et Menrir le transforma en une bête qui reflétait le monstre qu’il avait en lui. Menrir le nomma Gorgonli, et le plaça à la tête de son armée de monstres, tous assoiffés de sang. La noirceur de l’âme de Gorgonli le rendit plus sensible aux objets les plus purs, tel que le cristal. Il se rendit également compte que les dragons, êtres surpuissants et d’une pureté sans égale, étaient capable de le blesser gravement, voir de le tuer. Il se chargea lui-même d’exterminer les derniers représentants de cette espèce encore présents dans l’empire de Chine.